Articles

Affichage des articles associés au libellé Jeanne Orient

Alain Hoareau, Le jour Opéra

Image
Alain Hoareau, poète et musicien est accueilli pour son nouveau recueil par Jeanne Orient.  Une "lecture sonore" à découvrir. Le mouvement des êtres et du temps surgit comme par enchantement.  Un recueil publié aux éditions l'Harmattan. Alain Hoareau sur Monde en poésie Editions l'Harmattan  Alain Hoareau Revue Possibles Pierre Perrin, Le jour opéra

Fils de MémoireS, Jeanne ORIENT

Image
Jeanne Orient   vient de créer Fils de MémoireS . Cet événement et ceux à venir (prochain le 15 octobre 18 h30 – voir affiche ci-dessous) sont originaux. Ils réunissent, dans différents lieux, des auteurs qui vont chacun évoquer un thème précis, en lien avec un ensemble dont la portée fait sens. Une rencontre de qualité,merveilleusement animée par Jeanne Orient, comme en témoigne la vidéo ci-dessus.  Ce premier Fils de MémoireS qui démarre par un hommage sensible du poète Guy Allix au poète Michel Baglin, suit la ligne thématique d’un chemin de vie : - Alain Hoareau   L'Altérité - Andréas Becker   L'Effacement - Pierre Perrin   L'Oubli - Virginie Megglé   La Métamorphose -  B rigitte Maillard   La Renaissance (Retenue en Bretagne, je remercie chaleureusement Marc Bouriche de m’avoir secondée dans cette approche en transmettant ma communication) - Marc Bouriche La langue poétique comme révélation   Suiv...

Quatre saisons plus une, Alain Hoareau, Poésie

Image
Mais toi de quelle saison es-tu ? Ce voyage impressionniste est une fugue. Tout s’échappe et me retrouve, d’un doigt de rose . Chaque saison fuit ou en poursuit une autre. Musicale poésie. Celle de l’enfant poète qui se souvient de la lumière de l’étoile . Celle qui nous souffle en quatre saisons, le désir de la cinquième. Comme échappé d’une douce musicalité, un aperçu de l’absence. Subtile poésie. Plus une avance, originelle. L’été a la voilure de l’hiver, le printemps danse académique, et c’est l’automne qui se lance pour que l’été soit notre dernier tour avant la grande saison : l’autre, invisible, éternel. La cinquième. Dans le coin des yeux un regard solitaire, dans le coin des yeux une poussière. La vérité de ce recueil effleure notre présence, et la plume va, aux heures intimes. Si le poète dans sa fugue quitte, pour un temps plus ou moins long, l’endroit qu’il occupe habituellement, nous sommes secourus. Voilà ce que nous offre l...