François Cheng, Le livre du vide médian
Ici
Nous
avons posé l’obscur
Nous
avons posé l’éclat
Pour
qu’un jour se souvienne
Ici
Nous
avons tracé le trait
Nous
avons laissé vacant
Pour
qu’enfin advienne
François Cheng, Le livre du vide médian,
Albin Michel
page 39
Merci pour ce beau texte. Je venais justement de re-sortir ce livre de ma bibliothèque pour le savourer à nouveau ! Je découvre tout récemment votre blog avec beaucoup de plaisir.
RépondreSupprimerSylvie
Bienvenue en poésie, à vous Sylvie
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